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Solange Faladé – Le moi et la question du sujet – Séminaire 1988-1989

Solange Faladé – Le moi et la question du sujet – Séminaire 1988-1989

 

 

Quelle lecture ! J’ai été enchantée de faire la connaissance de cette dame, Solange Faladé dont j’ignorais et le nom, et l’œuvre. J’ai été impressionnée par ce séminaire qui m’a à la fois éclairée, ravie, désarçonnée, désabusée aussi ! Tant de fois j’ai trouvé lumineux sa lecture de Lacan et sa facilité de transmission et d’articulation. Tant d’autres fois aussi je me suis dit que je n’avais vraiment rien compris à Lacan ! Avec humour bien sûr, c’est bien tant mieux si je ne comprends rien !

En tout cas, merci Edith, merci Marine pour cette proposition de lecture. Cela m’a vraiment donné envie de relire Lacan une nouvelle fois, mais aussi et surtout ceux qu’il a formé. Vraiment, ce que Solange Faladé nous transmet ici est d’une grande finesse. Et quel travail !

 

Comme elle le dira à plusieurs reprises (il y a en effet beaucoup de répétitions mais c’est bien essentiel et inhérent à la fonction d’enseignent) il sera beaucoup question du sujet et peu du moi dans ce séminaire. Cela dit, je crois que c’est la première fois que je parviens à entendre sujet autrement que comme nous l’entendons au RPH. Faladé nous donne vraiment une belle approche de ce sujet de l’inconscient lacanien si j’ose dire (il est avant tout freudien) et de tout ce dont il en découle (refoulement originaire, Bejahung, Ausstossung, Verwerfung entre autres). Elle nous rappelle un essentiel de l’enseignement lacanien : « le Je n’est pas le moi »[1] et le sujet n’est pas l’individu.

 

La question du trait unaire m’a paru plus claire dans cette identification à un trait unique, prélevé sur père ou mère. Ce trait unaire qui désigne aussi l’Idéal du moi.

 

A maints endroits, j’ai souri en m’apercevant de nombreux oublis de mes lectures passées J’ai été ainsi étonnée de lire ce qu’elle trouve chez Lacan de la libido comme organe[2]. Ça m’avait échappé. De même que cette histoire de Katarina et de son père qui a un rapport sexuel avec sa sœur, je n’avais plus aucun souvenir de ça. Pareil avec l’Homme aux loups qui émet une selle. Pas de souvenir de l’avoir lu. Ça me donnera l’occasion d’y retourner !

D’ailleurs, cette émission de selle, Faladé l’associe à l’ « opération du sujet », et nous précise que le sujet de l’inconscient n’est pas toujours là ; il est intermittent, évanescent[3].

 

Parole et langage

Pour la première fois aussi, j’ai entendu clairement la distinction entre langage et parole.

Les effets de ce qui se passe dans le champ du langage se font sur la parole[4]. Ce n’est pas le sujet de la parole qui est barré, le sujet est barré du fait du signifiant[5]. Et le langage est la condition de l’inconscient. Ainsi, du fait même de la structure du langage, le cri de l’infans sera transformé en parole. C’est le grand A.

Aussi, parole et castration sont concomitantes : « ça se met en place en même temps »[6], nous dit Faladé. C’est ainsi que Lacan énonce que c’est le signifiant qui est traumatique.

 

Et ce que Faladé indique ensuite est nouveau pour moi : à partir de cette première demande, « du lieu A où sont les signifiants, un signifiant va décompléter cet Autre, et ce signifiant qui décomplète l’Autre, ce sera le sujet »[7].

Cette notion de « décompléter » ne m’est pas familière mais m’a beaucoup éclairée.

Ainsi, Lacan l’écrit S, « un signifiant qui s’est barré de ce lieu »[8].

Et de nous rappeler que le sujet se trouve toujours entre deux signifiants, « dans cet écart qui marque la chaine des signifiants dans l’inconscient »[9].

 

J’ai trouvé, évidemment, très bien dit ce qu’elle définit comme fin de cure, qui n’a rien à voir avec la complétude : « (…) cette complétude, il n’y a pas à compter sur elle, pas plus que cette maîtrise, mais que c’est face à son incomplétude que le sujet doit pouvoir naviguer dans la vie »[10].

 

Naissance du sujet

De la naissance du sujet, il en sera beaucoup question. Faladé nous dit d’ores et déjà que la naissance du sujet est concomitante d’une chute, un objet choit. Le schéma de la division le représente : les conséquences sont les S, le A et le a (reste résiduel).

 

Page 30, je note ce que Faladé nous transmet de l’évolution chez Lacan du désir toujours cocu à la demande toujours cocue. Premièrement, il est intéressant de noter que la rencontre avec l’Autre comme trésor du signifiant produit un effet : ce qui est émis par l’émetteur (le désir par le truchement de la demande) n’est pas la même chose que ce qui est reçu par le récepteur.

Il y a le désir en deçà de la demande[11], et celui au-delà de la demande. Deuxièmement, cette évolution du désir à la demande indique bien l’inaccessibilité du désir, l’impossibilité de faire autrement que d’en passer par la demande, demande toujours aliéné du fait de la structure même du langage. C’est pourquoi Faladé souligne que du fait de la division et de l’aliénation au signifiant, « le sujet de la parole, l’être parlant, le sujet ne peut qu’être qu’un quémandeur, car toutes les fois qu’il veut signifier quelque chose de son désir, il ne peut le faire que par le biais de la demande. »[12] C’est aussi pour cela que l’enfant cherchera à identifier (et s’identifier), dans les demandes de la mère, l’objet de son désir à elle.

Le désir se met en place chez l’enfant du fait de la répétition des demandes. Cette répétition va faire saisir à l’enfant l’incomplétude du grand Autre. Ce qui de cette demande, n’est jamais satisfait, ne pourra plus revenir du fait de l’Urverdrängung : « Ce refoulement primordial, c’est ce qui n’a pas pu être repris dans la demande, lorsque la première demande a été posée et qu’elle a dû être reçue au lieu de l’Autre, de l’Autre avec ses signifiants »[13].

Je n’avais jamais réalisé l’importance et l’impact que nous présente ici Faladé quant à l’opération de la demande. C’est à partir de la demande, qui est le fait du pur sujet du besoin, que va naître le sujet. Le sujet passe dans le champ de l’Autre, le décomplète, ainsi c’est un sujet barré[14] et l’opération est celle d’une disjonction, le reste est l’objet a.

Elle ajoute : « le sujet, c’est la coupure »[15]. Il est intéressant de noter que de ce mouvement, la conséquence en sera le fantasme fondamental qui viendra comme une tentative de suturer cette béance. La traversée du fantasme reproduit alors en quelque sorte ce même mouvement premier de disjonction.

 

Faladé précise aussi que d’abord il y a naissance du sujet, par la première demande, et qu’ensuite, par des demandes réitérées, se met en place ce qui est de la pulsion « qui permettra au sujet de saisir ce S(A), ce qui divise aussi le grand A, ce qui lui signifie que, de ce côté-là, il y a du manque[16]. ».

La pulsion apparaît donc après la première demande ?

Et selon l’endroit où tombe le a, il y aura une névrose ou une perversion[17].

 

La naissance du sujet va de paire avec le refoulement originaire et le fantasme fondamental.

Une autre façon de le dire : le fantasme fondamental est la conséquence de la division du sujet et de son reste, l’objet a. Le fantasme fondamental a à voir avec ce qui s’est retranché de ce néant[18]. Il est une façon « de boucher, d’obturer cette faille, ce manque, dû à la rencontre du réel »[19].

 

Le Nom-du-Père

Concernant le Nom-du-Père, une précision importante : pour qu’il soit révélé à l’enfant, « il faut qu’il puisse être saisi de l’enfant à partir de la mère »[20]. Qu’elle le fasse savoir par ses limitations. Elle ajoute : « ce Nom-du-Père peut être ce qui existe mais ne fonctionne pas du fait de la mère »[21]. De plus, la mère peut se présenter comme un grand Autre castré ou non. La décomplétude de l’Autre est là de toute façon, « mais encore faut-il que, par son comportement, la mère puisse se faire connaître de son enfant comme elle-même manquant de quelque chose, comme présentant dans sa chaine signifiante ce trou de la castration »[22]. Sinon, le NON du père ne va pas fonctionner. « C’est d’abord par la médiation de la mère, des paroles de la mère, que le voile sur le père en tant que faisant la loi va pouvoir se lever. Le sujet, bien qu’il soit barré, peut très bien ne jamais voir apparaitre le trou de la castration. Je trouve cette présentation cliniquement très fine et ça résume en une phrase mon travail de thèse finalement ! La castration ne prend pas naissance grâce à une psychanalyse, elle est déjà là. La psychanalyse opère une révélation à l’être de sa condition qui jusque-là, lui était masquée à lui-même.

Et Faladé précise d’ailleurs que le psychotique, « parce que dans la parole, est aussi un sujet barré du fait du signifiant »[23]. D’où la distinction qu’elle nous précise aussi entre castration et division : le sujet est divisé/barré du fait du signifiant (Spaltung). La castration elle renvoie au phallus. Pour le psychotique, le grand Autre n’est pas barré, « il ne fait pas connaitre sa castration »[24].

 

L’objet a

Je note aussi cette formule : « la science s’efforce de suturer ce a, le sujet de la science, la démarche scientifique s’efforcent de suturer ce a de façon que le sujet apparaisse comme non barré, comme non divisé »[25]. Voilà qui fait réfléchir pour envisager la psychanalyse comme science…

 

Le fantasme traversé renvoie pour Faladé à ce que le sujet ait pu repérer quel objet a il est[26]. C’est uniquement cela qui permet de répondre à la question que suis-je ?

Je n’avais jamais entendu avant que le rapport à l’objet a pouvait s’énoncer ainsi « se faire sucer, se faire voir, se faire entendre, se faire chier »[27] et je trouve cela tellement parlant. Le sujet va, par la psychanalyse, se positionner différemment « dans son rapport à la demande, et donc dans ses relations avec ses objets » ; « une façon autre d’être dans cette pulsion »[28].

La traversée du fantasme a directement à voir avec l’objet a car par son fantasme, « le sujet va se fixer à l’objet a (…) Au moment de la chute du fantasme, il réalise qu’il est cet objet a. C’est la coupure qui fait briller l’objet partiel. »[29]

 

Les objets a sont aussi définis comme objets de jouissance (ce qui rejoint le texte de Maleval qui m’avait questionné) qui choient lors de séparations et « la séparation, c’est l’objet qui choit »[30]. Objet de jouissance cause du désir alors ? D’où la chute de l’objet a après la traversée… Dans les différentes phases du fantasme qu’elle décrit, j’ai trouvé très intéressant aussi ce qu’elle évoque d’une sorte de réduction de l’être à l’objet a. Réduction à l’objet regard, voix, fèces, sein. Cela rejoint une observation personnelle, d’une sorte de réduction en marche dans la dynamique du fantasme. La traversée du fantasme lève le voile et transforme cette réduction. Je crois que c’est ce qu’elle nous dit aussi à propos de la traversée du fantasme un peu plus loin, traversée qui implique une disjonction entre S et le a qui permet au sujet de savoir quel est le petit a dont il est le sujet[31]. Car « Le a, c’est ce qui vient couvrir la castration, c’est ce qui, au moment du rien, et peut-être que, à la fin de l’analyse, c’est ça qui fait dissocier. »[32]

 

L’objet a, chez le psychotique, prendra forme dans les hallucinations au lieu du fantasme chez le névrosé. J’ai trouvé très parlante sa distinction qu’elle fait à propos de l’homme aux loups : l’objet a regard revient en rêve tandis qu’il revient en hallucination dans la psychose.

Aucun souvenir non plus que l’objet a, au nombre de 4, fut appelé « effaçon » par Lacan : « quatre modes d’effacer la trace de l’Autre »[33].

 

L’articulation S1-S2

Ce que nous apporte Faladé ici est grandiose et m’a déroutée. Je ne sais pas pourquoi j’avais à l’esprit une chaine signifiante S1, S2, S3, S4 etc. alors que cela s’arrête au S2. Ce passage du S1 (signifiant maître) au S2 (signifiant du manque dans l’Autre S(A)) est déterminant pour la structuration psychique de l’être. C’est un appel à l’Autre pour permettre au S1 de représenter le sujet. Ici Faladé m’étonne un peu, lorsqu’elle évoque le S2 comme en dehors du lieu du grand Autre, comme l’exception qui confirme la règle, comme une réponse de l’être de l’organisme[34]. Elle en perd ses auditeurs ! Tout cela est très nouveau pour moi aussi et m’intéresse de fait particulièrement. Nouveau et pourtant familier…

C’est grâce au S2, S(A) que le sens sera maintenu pour le sujet.

Pour le psychotique, « le S(A) ne sera pas subjectivé puisque la castration n’a pas fonctionné, le grand Autre apparait comme sans manque, comme n’ayant pas cette place vide qui est sa structure »[35]. Cette place vide est nécessaire pour qu’il y ait saisie du sens[36].

Le S2 a à voir avec cette place vide dans l’Autre.

 

Les précisions concernant la psychose seront très précieuses et suivent les éclairages récents de la lecture de Maleval. Faladé nous dit que le S2 apparaît bien au sujet psychotique, puisqu’il revient dans le réel, mais il n’a pas été subjectivé. La Bejahung a lieu donc l’appel à l’Autre aussi mais jamais le père ne vient. Pour le psychotique, le Nom-du-Père n’est pas en circulation dans la chaîne signifiante.

« (…) la Verwerfung ne peut être que s’il y a un appel, appel qui fait que le père ne peut pas répondre, qui fait que la fonction paternelle ne peut pas répondre »[37]. Et : « Pour le psychotique, le père reste celui qui jouit de toutes les femmes, celui qui jouit de la mère »[38].

 

Désir de la mère et désir de l’Autre

Faladé nous invite aussi à plusieurs reprises à ne pas confondre le désir de l’Autre maternel et le désir de l’Autre, souvent confondus. Le désir maternel a à voir avec le S1, se rencontre dans l’intervalle S1-S2, tandis que le désir de l’Autre se rencontre grâce au S2, dans la séparation donc d’avec le S1.

Le névrosé va s’identifier à l’objet du désir de la mère[39], au phallus et il est de bon augure qu’il le fasse. Etre ce phallus, c’est ainsi que l’enfant tentera de faire quelque chose du désir de la mère. C’est le Nom-du-Père qui a pour fonction de le sortir de là. Nous en voyons bien les ratés dans nos consultations.

Très intéressant aussi de saisir que le grand Autre primitif concerne à la fois le père de la horde mais aussi la mère phallée (nouveau mot !).

 

Aussi, l’inexistence et l’incomplétude de l’Autre n’ont rien à voir avec une absence[40]. C’est le manque à être, indispensable au désir. L’Autre est un lieu vidé de jouissance.

C’est à l’enfant, nous dit Faladé, d’ « évider » les signifiants, les représentations, tout ce qui a à voir avec la mère[41].

 

Névrose hystérique et obsessionnelle

J’ai trouvé très intéressant les apports distinctifs entre névrose hystérique et obsessionnelle qu’elle nous donne. Notamment cette façon que l’hystérique a de toujours se mettre du côté de l’exception.

 

Elle évoque le fantasme de l’hystérique, de séduction, « fantasme qui fait que si un enfant vient à naitre, ça ne peut être que parce qu’il y a eu une séduction de la part du père et qu’elle-même, hystérique, a eu à subir cette séduction. »[42]

 

Très pertinent aussi ce qu’elle définit du fantasme de l’obsessionnel sur le coït parental. J’ai moi-même mis du temps à saisir où se logeait le fantasme dans l’énoncé de Faladé ! Sa précision m’y a aidé ! Lumineux.

Il faut dire que sa première formulation, « l’enfant ne vient pas du coït » n’est pas vraiment exacte. Il me semble qu’elle s’en saisit grâce aux questions des auditeurs. Elle reprend en parlant cette fois-ci du sujet : « certes en tant qu’enfant, mais le sujet que je vais devenir, c’est par rapport à ce que de la parole, j’ai pu, moi, dire. C’est la relation de cette parole avec ce qui est dans le champ du langage, c’est ça qui est le sujet. »[43]

C’est le sujet qui vient de ce rien et cette distinction entre l’être (l’individu ?) et le sujet est fondamentale et c’est à nouveau une première pour moi de le lire de façon si fluide. Cliniquement ça touche vraiment juste. Le fantasme fondamental est véritablement une réponse à cette distinction, en tentant de l’annuler. La difficulté d’admettre qu’on vient de ce rien met en place le fantasme. Le fantasme qui vient voiler que le sujet vient du néant, quel apport clinique majeur.

 

Avec ses apports si précieux, je me demande alors, que faisons-nous de ce sujet au RPH ? Où est-il dans nos théorisations ? Ne serait-ce pas la même remarque que pour la castration : la psychanalyse ne créé pas une nouvelle position, elle se révèle à l’être ? Pas aussi clair que pour la castration je trouve…

 

La position féminine

Très éclairant aussi les précisions sur La femme : aucun signifiant ne vient signifier la féminité. La femme aura à faire avec le fait qu’aucun signifiant ne peut signifier la féminité[44]. En réponse, elle essaie donc d’aller vers le désir d’un homme[45].

Construire sa position féminine revient à faire le tour de son rapport au phallus et à faire avec le fait qu’aucun signifiant ne peut signifier la féminité.

La féminité : « C’est premièrement faire avec le fait que l’objet, la fille ne l’a pas et que, d’autre part, le signifiant de la féminité, il n’y en a pas. »

 

Je note ceci : « le travesti tient absolument à ce qu’on n’oublie pas qu’il possède l’objet »[46].

 

« Pour clamer quelque chose du féminin, il faut accepter que la femme ne peut être que barrée. Or l’hystérique ne l’accepte pas, elle se met du coté de l’exception. Une femme qui n’est pas barrée, c’est celle qui refuse la fonction phallique, qui refuse ce que, de l’homme, elle pourrait recevoir ; et il y a différentes façons d’y parvenir »[47].

 

Masochisme primordial

Faladé évoque très succinctement le masochisme primordial[48]. Je reste sur ma faim.

Je n’ai pas bien saisi à quoi cela fait référence, et vous ?

  1. 314 : « la genèse de la perversion - qui est ce masochisme primordial, qui est cette relation avec l’Autre, le grand Autre bien sûr, qui fait que, pour pouvoir au niveau de l’inconscient répondre à qui suis-je ?, c’est de l’Autre que ça peut venir ». Le masochisme primordial a à voir avec le fait que l’être est obligé d’en passer par l’Autre ?

 

 

[1] Faladé, S. (1988-89). Le moi et la question du sujet, Paris, Economia, 2018, p. 10.

[2] p. 279.

[3] p. 280-81.

[4] p. 38.

[5] p. 47.

[6] p. 297.

[7] p. 10-11.

[8] Ibid.

[9] Ibid.

[10] p. 16

[11] p. 33.

[12] P. 305.

[13] p. 40.

[14] p. 57.

[15] p. 58.

[16] p. 59.

[17] p. 60.

[18] p. 285.

[19] P. 288.

[20] p. 41.

[21] p. 42.

[22] Ibid.

[23] p. 43.

[24] p. 44.

[25] p. 46.

[26] p. 66.

[27] p. 67.

[28] p. 68.

[29] p. 69.

[30] p. 276.

[31] p. 288.

[32] p. 321.

[33] p. 106.

[34] p. 80.

[35] p. 82.

[36] p. 98.

[37] pp. 148-149.

[38] p. 151.

[39] p. 197.

[40] p. 273.

[41] p. 274.

[42] p. 286.

[43] p. 298

[44] p. 193.

[45] p. 193.

[46] p. 201.

[47] p. 204.

[48] p. 294.

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