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Fiche de lecture Solange Faladé – Autour de la chos

Très contente de continuer le séminaire de cette dame qui est une vraie découverte pour moi, presque une rencontre. Ce séminaire Autour de la chose tombe pile poil quant à ce qui ressortait de ma lecture du précédent séminaire et qu’un participant avait également soulevé, le fait qu’elle présente la psychanalyse comme, finalement, « la clinique de la Chose » ! J’étais donc ravie que Faladé ait continué sur ce fil. Je reste un peu sur ma fin sur ce séminaire-là. J’ai trouvé Faladé davantage en retenue, en réflexion. Un gout d’inachevé… peut-être est-ce dû au thème tout simplement, inaccessible.

 

Malgré tout, et vu la complexité de la chose (!), elle nous offre encore beaucoup d’éclairages précieux.

 

Déjà, j’ai trouvé très intéressant la préface qui nous apprend davantage sur le parcours et la personnalité de Solange Faladé. De sa thèse sur le développement des bébés africains portés dans le dos de leur mère à sa vision de la transmission de la psychanalyse, selon elle uniquement possible dans une Ecole de psychanalyse, j’ai été touchée d’apprendre certains détails qui donnent consistance à sa parole, orale, précieuse et notamment cette phrase : « S. Faladé refusait toutes les compromissions et tous les enjeux de pouvoir allant à l’encontre de l’éthique de la psychanalyse (…). Lorsque l’on prenait le temps de découvrir Solange Faladé psychanalyste, on ne pouvait qu’apprécier l’écoute précise et intransigeante, le mot juste même s’il dérangeait, son regard et son sourire indescriptibles, comme soutien ou encouragement à continuer ». A retenir. Quelle bonne idée que ses élèves aient eu l’initiative de la publier en dehors de son Ecole.

 

Ce que je retiens de tout à fait fondamental dans ce que Faladé insiste ici est le fait que si Freud nous a introduit au désir, Lacan lui a fait la part belle à la jouissance. Et cette jouissance, Faladé va nous la faire entendre encore différemment.

 

Dès le début de ce séminaire, elle rappelle l’importance du lien à la mère, tel que l’a découvert, tardivement, Freud. Ce qui est porté sur le père est lié à ce qui a été vécue par rapport à la mère[1].

 

La question de la Chose, Faladé la situe dans l’enseignement lacanien à partir du séminaire L’Ethique et « ce qui est autour de la Chose, c’est en fait ce qui a à voir avec ce vide radical, ce manque, le fait que l’objet ne peut être constitué que parce que manquant. Ce vide radical, c’est en fait ça, cette castration dont nous parle Freud. Et c’est autour de cela que sera constitué une barrière, une barrière telle que le sujet va se mettre à l’abri de ce qui pourrait advenir s’il lui arrivait d’être en contact avec ce vide »[2]. La Chose gagne en précision par la formule : « le vide de la Chose ». C’est du vide dont il s’agit. C’est assez surprenant de lire, je dois le dire, des mots moultes fois répétés par Faladé, que j’ai pu employés moi-même de façon très intuitive, que ce soit en terme de radicalité, ou de vide. La réaction, parfois, de certains collègues, comme si ces mots-là n’étaient pas appropriés, m’avaient fait réfléchir. Je me souviens que Legouis m’avait rétorqué que le vide, cela concernait le psychotique. Je retrouve ici la distinction fondamentale entre le vide et le manque, ce n’est pas la même chose. Et le vide concerne bien tout un chacun. Ce vide est radical, c’est du Réel, et il est profondément lié à l’expérience de la psychanalyse, et même, de la fin d’une psychanalyse.

 

J’ai beaucoup aimé comment Faladé évoque « ce lieu, ce lieu où la jouissance pourrait être trouvée, mais ce lieu avec lequel nous devrons nous efforcer de trouver un bon voisinage »[3]. Cliniquement cela me parle beaucoup. Et ce séminaire, qui concerne le reste, comme je peux l’entendre d’ailleurs aussi ailleurs, dans d’autres lieux de travail, me laisse parfois penser qu’il serait intéressant, en effet, d’évoquer aussi ce qui reste d’une psychanalyse et avec lequel nous avons à faire avec, « un bon voisinage ».

 

Faladé insiste sur la barrière, indispensable à la Chose : il s’agit de mettre une distance avec la jouissance. Elle revient sur le premier cri de l’enfant qui rencontre « le discours qui lui préexiste », qui n’est pas seulement le sein mais un sceau (Faladé reprend ici Lacan), celui de la « matrice de l’Idéal du moi »[4].

Le cri assignifiant devient parole, adresse à l’Autre d’une demande qui alors, devient décomplété et fait advenir le sujet barré. Dans la répétition de la demande, à ce moment-là se crée un vide, une vacuole au sein du grand Autre : la Chose. Faladé dit alors qu’ici la jouissance devient interdite. Je me suis demandée pourquoi interdite, et pas par exemple « inaccessible » ? Comment entendez-vous cela, interdite ?

 

C’est à ce moment-là aussi que sera prélevé chez l’Autre le trait d’identification, le trait unique, trait unaire pour Lacan, l’I(A). « Ce I(A) est en relation avec ce lieu évidé » [5] nous dit Faladé. Elle ajoute « il y a ce leurre, le premier objet qui ne sera jamais retrouvé. (…) le premier objet qui a satisfait ne sera jamais trouvé, que c’est un lieu évidé, il faut que [le sujet] s’en accommode. »

 

Faladé signale à nouveau ceci quant au signifiant et au sens : « Ce que Lacan nous dit [à ce propos] dans le séminaire sur L’identification, il y insiste, c’est qu’il faut qu’un signifiant ait un autre signifiant pour pouvoir signifier (il le répète tout au long de deux leçons de ce séminaire), pour que le sens (donc la signification) puisse être donné. »[6] Le refoulement originaire fait que des signifiants ne reviendront pas.

 

Faladé lie la pulsion à la jouissance, qu’elle lie à la satisfaction de la théorie freudienne (Befriedigung), que l’être s’efforce de porter à zéro (principe de plaisir). Reprenant l’œuvre de Freud depuis le masochisme, l’au-delà du principe de plaisir, la réaction thérapeutique négative, la quête de l’objet, tout ceci rejoint la Chose. Faladé nous dit que Lacan le reprendra lui à partir du sujet[7]. Ce sujet qui n’est qu’un effet de signifiant : c’est parce qu’il y a signifiant qu’il y sujet, sujet divisé qui plus est, celui-là qui a affaire avec le manque[8].

Comment nommons-nous en effet au RPH ce sujet-là ?

 

Faladé insiste beaucoup dans ce séminaire sur l’Idéal du moi, ceci étant la deuxième forme d’identification définie par Freud. Faladé évoque alors ce qui est prélevé « d’une telle façon que ça sera hors corps, qui aura à voir avec le reste de jouissance, c’est-à-dire que là aussi, nous avons affaire au vide et à ce qui cause la jouissance du sujet, c’est-à-dire ce qu’il en reste. ». J’ai trouvé très important comment Faladé insiste sur le fait que l’objet perdu, c’est bien en tant que perdu qu’il devient un objet. C’est donc bien la perte qui est primordiale. Et aussi comment elle affirme que ceux pour qui l’objet n’est pas perdu, à l’instar de Mélanie Klein, ne sont pas freudiens. Et en outre, penser l’objet autrement que perdu a des incidences sur la conduite des cures. Evidemment ! Très surprenant de lire que des débats et désaccords avaient lieu à l’Ecole freudienne de Paris à propos de considérer la cure (la cure « bien faite ») comme la possibilité de retrouver l’objet perdu, la complétude. Incroyable ! Faladé[9] insiste alors sur le fait que ce n’est pas accepter ce vide, cette perte de départ, la structure même de l’être parlant, ce S(A).

 

Pas facile de suivre parfois la chronologie que nous décrit Faladé quant au développement du petit d’homme. J’ai l’impression d’avoir tout de même saisi que dès le départ, avant toute symbolisation, il est dans la jouissance, c’est du réel, du réel préalable. Avec la symbolisation apparait le manque et donc, la castration. La jouissance est ainsi négativée. Mais tout le réel ne sera pas symbolisé. Il y a un reste. Il est intéressant de savoir d’ailleurs que Lacan avait l’espoir, ou l’illusion que la cure puisse permettre que ce réel non symbolisé le devienne, notamment le psychotique confronté aux retours dans le réel.

 

La castration, « c’est de ne pas trouver à sa place l’objet que l’on cherche »[10].

Aussi : « Je vous ai dit que la castration c’est ne pas trouver l’objet, l’objet primordial, en un lieu où l’on pensait le rencontrer. Mais comme cet objet n’a jamais existé, la castration, ça, c’est être aux prises avec ce vie. »[11] Et d’ajouter que la façon dont on s’en arrange, c’est le fantasme. Quel dommage de ne pas avoir connu cette psychanalyste pour ma thèse ! Mais le principal est de continuer le cheminement évidemment.

De formuler que la castration équivaut à négativer la jouissance, c’est une autre façon de la dire qui précise bien la chose. Ce qui me rappelle les propos de Durel (cf. mon mail), à cet égard là c’est d’autant plus édifiant.

 

Je suis assez sensible à ce que Faladé précise quant à la pulsion. « Ce reste de jouissance met en place la pulsion ; ce autour de quoi tourne cette pulsion, c’est cet objet, objet a qui est du côté du réel, c’est ce qui reste du réel quand il y a eu symbolisation ». Page 78, Faladé m’apporte un autre éclairage quant au phallus symbolique, Φ. C’est la jouissance négativée. Le signifiant de la jouissance, oui mais négativée alors. Et le reste de la jouissance de ce qui n’a pas été symbolisé, cet objet vient, est là, c’est la pulsion qui vient d’une « façon silencieuse ». La pulsion tourne autour du vide[12]. En le lisant ainsi, Faladé relie la pulsion à la castration, ce qui me surprend, d’ailleurs sur le schéma avec la ligne jouissance – castration, castration est au même endroit que la pulsion (S◊D). Je ne l’avais jamais pensé comme cela mais c’est tout à fat logique puisque la pulsion ne rencontre jamais l’objet recherché, il y a toujours ratage au niveau de l’objet. Je comprendrai mieux plus loin, Faladé nous rappelant que Lacan indique bien que l’expérience du fantasme fondamental devient la pulsion. Je n’avais jamais saisi cette phrase, je la comprends bien mieux si par la pulsion est entendu la castration, le manque de l’objet. Ce qui n’est pas du tout une sublimation. La fin de la cure n’est pas du même ordre que la sublimation[13]. Elle dira plus loin à ce propos : « Si la sublimation c’est de l’ordre de l’imaginaire, et quel que soit cet imaginaire qui est là et, si la fin de l’analyse, c’est de faire en sorte que ce fantasme justement soit disjoint, et que le sujet puisse saisir quelle est cette doublure, cet objet a, c’est-à-dire que ce fantasme ne s’écrive plus, en tout cas ait pu être disjoint, il va sans dire que la fin de l’analyse n’apporte aucune sublimation. C’est autre chose que le sujet doit pouvoir faire avec ce vide, et tout est là : ne pas apporter n’importe quel objet pour combler ce vide »[14]. Tellement bien dit !

Elle ajoute : « C’est-à-dire que ce n’est pas se penser comme déchet, c’est faire autrement avec le vide. Mais ce n’est pas le peupler avec n’importe quel objet, objet de mirage, objet qui entretient le leurre, oui. »[15] Puis : « « Ça veut dire qu’une fois le fantasme traversé, la relation avec la pulsion, ça va être de faire avec le vide, ce trajet de la pulsion. Car ne croyez pas qu’il n’y a plus de pulsion, une fois qu’on a pu atteindre ce moment, ce temps où le fantasme a été traversé ; si, [la pulsion reste], mais on fait avec le vide ». Ceci éclaire ma surprise du début, de la pulsion du côté de la castration. Il s’agit plutôt d’une façon de vivre, d’une modalité de vivre la pulsion, avec castration, grâce à la cure. Et je suis bien d’accord.

Et : « ces restes de jouissance non seulement ont à voir ave le fantasme, mais essentiellement, avec ce qui de ces demandes successives fait la pulsion »[16]. La sublimation, quelle qu’elle soit, est là pour masquer la béance de la Chose, du vide de la Chose »[17]. La fin de l’analyse, elle, correspond au fait que « le fantasme sera disjoint de ce qui lie le sujet à cet objet cause du désir, le fantasme qui, vous le savez, est aussi une façon de couvrir le vide de la Chose ».

 

Tout au long de l’ouvrage, Faladé insiste et répète que la castration c’est le manque, le vide, et que toute la jouissance n’est pas négativée il y a des restes. Ces restes de jouissance sont l’objet a, ces objets de jouissance, objets cause du désir[18]. C’est intéressant aussi comment elle parle de l’objet a comme « doublure » du sujet. Et quant à la fin de l’analyse, « lorsqu’il y a cette ouverture du fantasme. Il y aura le sujet et l’objet, l’objet a. »[19]

 

  1. 76, note 23, je note quand mêle comment les transcriptions de Miller ne sont pas fidèle à la parole de Lacan, Miller s’accordant le droit de supprimer le mot borderline, par exemple.

 

Concernant le réel j’ai trouvé intéressante la distinction de Faladé. Il y a deux réels nous dit-elle : le réel préalable avant la symbolisation et celui après la symbolisation, le réel du sujet. Elle nous indique par la même occasion que le réel dont parle Lacan, et qu’il fait figurer dans le nœud borroméen, c’est le réel du sujet.

 

Plus loin, Faladé nous donne une définition plus précise alors de la Chose : « une zone où la jouissance demeure même s’il y a négativation de la jouissance. Cette zone, c’est la Chose, ce das Ding »[20]. Ce contact avec cette zone se fait avant le refoulement, avant le signifiant. Ainsi il y a de la jouissance « sans que quoi que ce soit de l’inconscient en soit marqué »[21].

 

Faladé précise aussi toute l’importance d’avoir bien à l’esprit que si Freud avait l’espoir d’une sorte de retrouvaille avec l’objet perdu, Lacan lui insiste largement sur le fait que l’objet manque, pour toujours car l’objet qui manque est réel[22]. C’est ainsi que l’objet a se distingue de l’objet partiel. Et la structuration même du sujet (hystérique et obsessionnel) dépend de ce rapport avec la Chose et de ce qu’il aura vécu à ce moment-là (insatisfaction pour l’une, trop de jouissance pour l’autre).

 

Revenant à la question de la barrière, « car il faut qu’il y ait cette barrière à la Chose pour que la vie soit possible »[23], elle nous indique que le pervers lui s’efforce de toujours la transgresser. Il est important aussi de noter que das Ding n’a pas de représentations. Le détail sur les mots allemands est intéressant. Das ding est littéralement le vide et pas les représentions de choses et de mots qui sont dans la chaine signifiante, inscrite au niveau de l’inconscient. Ce qui a donc conforté Lacan dans l’importance de distinguer la Chose[24].

 

Ce séminaire m’a beaucoup éclairé aussi quant à la sublimation, que j’ai rarement à l’esprit. J’ai mieux saisi pourquoi, elle n’est pas vraiment concernée par le parcours d’une cure. Ce n’est pas nouveau mais Faladé me remémore aussi que le symptôme c’est une substitution[25]. C’est toujours un bon rappel, et ça le distingue de la sublimation. La question de la satisfaction se complexifie un peu lorsque Faladé nous indique que la sublimation est une satisfaction de la pulsion, elle-même refoulée nous dit-elle. Ce n’est pas la même chose lorsque il y a refoulement, idéal du moi, qui vont de paire avec le symptôme[26]. « La sublimation, c’est ce qui nous permet de jouir de la Chose tout en maintenant une barrière, ce qui nous permet de jouir tout en faisant que cette zone reste une zone interdite. » Le symptôme lui équivaut selon elle à l’idéal du moi et qui a à voir avec l’identification, « ce que le sujet a prélevé aussi sur l’Autre »[27]. Le symptôme est « une vérité qui crie »[28]. Page 132, Faladé nous indique bien aussi que le symptôme se dénoue par le savoir.

 

La sublimation comme le fantasme sont des moyens d’habiller le vide, d’habiller le réel.

 

Pour le névrosé et le pervers, l’Autre est décomplété. Ils sont au courant du manque dans l’Autre. Il y a négativation de la jouissance. Pas pour le psychotique pour qui l’Autre n’est pas décomplété[29]. Ainsi, « nous avons affaire aux dits du psychotique, (mais) nous ne pouvons pas dire qu’il y a un discours »[30]. Le psychotique, non concerné par le reste de jouissance, par l’objet a, ne serait donc pas concerné par la pulsion[31].

 

Faladé insiste aussi largement sur l’objet extime, « cet objet qui est à la fois à l’intérieur et, en même temps, qui a cette relation particulière avec l’extérieur »[32] Cela m’a éclairé aussi de savoir que Lacan avait quitté ces graphes pour ses représentations topologiques pour justement faire figurer ce rapport au vide et l’objet. Je ne l’avais pas du tout saisi jusqu’alors.

 

Concernant la femme, Faladé nous indique qu’elle a rapport particulier, intime avec le vide, le trou, « avec ce qui ne peut pas là se dire, mais qui a un énoncé »[33]. Et que si aucun signifiant ne vient à représenter la femme, il y en a bien un lorsque le symptôme est là. Très intéressant.

 

[1] Faladé, S. (1993-94). Autour de la chose, Paris, Economica, 2012, p. 5.

[2] P. 11

[3] p. 12.

[4] p. 14.

[5] P. 16.

[6] P. 17.

[7] P. 32

[8] p. 39.

[9] P. 55

[10] p. 71.

[11] P. 127.

[12] P. 81.

[13] P. 131.

[14] P. 142.

[15] P. 143.

[16] P. 148.

[17] P. 175.

[18] Pp. 87-88.

[19] P. 98.

[20] P. 105.

[21] P. 107.

[22] P. 108.

[23] p. 115.

[24] P. 122.

[25] P. 128.

[26] P. 129.

[27] P. 132.

[28] P. 140.

[29] P. 149.

[30] P. 150

[31] p. 158.

[32] P. 180

[33] P. 202.

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