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Devenir mère - Intervention colloque RPH - Novembre 2022

Voici un extrait de ma conférence du 25 novembre 2022
Devenir mère : vie, deuils et renouveau
Construire sa maternité, entre position féminine et fonction de mère

 
Résumé : La maternité produit des changements radicaux, des bouleversements intimes et familiaux conséquents. La femme qui devient mère aura à se confronter à bien des remaniements, pertes et renoncements pour assurer sa fonction maternelle sans pour autant céder de sa position féminine. Il s’agira ici de distinguer comment cette position et cette fonction peuvent s’articuler, se nourrir et aussi accompagner au mieux l’enfant dans son développement. Cette ambition nécessitera que cette fonction maternelle fasse bon voisinage avec celle de l’Autre barré, indispensable pour offrir à l’enfant les castrations qui jalonneront son développement et lui permettront de s’inscrire dans une voie désirante.


 

 

« (…) les femmes doivent être préparées. Non pas conditionnées ! Au contraire. Puisqu’il faut qu’elles soient éveillées, conscientes. Mais il faut qu’elles comprennent. Il faut qu’elles sachent que l’enfant entend, que ses oreilles sont sensibles. Qu’on les blesse facilement. Bref, il faut, dès ce premier instant, qu’elles apprennent à aimer l’enfant pour lui. Non pour elles. Ce bébé, ce n’est pas un jouet, une parure. C’est un être qui leur est confié. Puissent les femmes comprendre, sentir : « Je suis sa mère » et non « C’est mon enfant. »[1]

 

Voici comment je souhaitais commencer, et colorer, mon propos d’aujourd’hui, par quelques mots de Frédérik Leboyer, ancien médecin accoucheur qui a publié, en 1974 déjà, ce très beau livre, presque un recueil, intitulé Pour une naissance sans violence. Ce sont quelques mots qui disent beaucoup, à mon avis, de ce que c’est, devenir mère : une maternité qui n’oublie pas l’être femme. C’est de cette maternité-là aujourd’hui que j’aimerais vous parler, discuter avec vous.

 

Tant de choses à vous dire et je suis limitée par le temps imparti. Ça sera donc une ébauche. Avant de développer mon propos, je voudrais tout de même préciser un point pour ne pas me dérober du caractère personnel de la question traitée aujourd’hui. Nous sommes fin 2022 et je suis mère de deux enfants de moins de 3 ans. Autant vous dire que je suis très concernée par l’affaire ! Je le précise parce que évidemment, de prendre la parole sur ce thème aujourd’hui, je le fais d’abord en tant que clinicienne mais ça ne sera pas sans mon expérience, jeune expérience, de mère, les observations et les transformations que ce devenir engendre. Il n’est pas question d’un témoignage mais pas de semblant non plus.

 

Je me souviens avoir dit, lors d’une séance de psychanalyse, peu de temps après avoir accouché de mon premier enfant : « être mère ça change ma vie, mais ça ne change pas ce que je suis ». Pour être très claire, j’avais à l’esprit les changements induits par la maternité en comparaison à ceux induits par une sortie de psychanalyse et la position de sujet. Ce n’est pas comparable, dans les faits mais aussi par structure, ce n’est pas du même ordre. Et puis du temps a passé depuis ce dire, mon deuxième enfant est né et avec lui, un rythme bien plus soutenu, bien plus éprouvant aussi. Les transformations et les renoncements liés à la maternité se sont davantage fait sentir. Ce passage de la femme à la mère, et inversement, il s’apprivoise, il se construit. L’une ne se substitue pas à l’autre. Comment la femme et la mère peuvent-elles alors coexister ? C’est aussi pour cela que m’est venu à l’esprit le terme de fonction de mère. Il me semble nécessaire de distinguer ce qui relève d’abord, pour un être de sexe féminin, du devenir femme en tant qu’assomption subjective, et éventuellement, ensuite, du devenir mère en tant que construction possible. Ma proposition est de distinguer la position de femme, et la fonction de mère, pour qu’il soit possible de concevoir et de vivre en soi-même – c’est mon désir –, qu’être mère, malgré toutes les responsabilités, les contraintes mais aussi tous les plaisirs possibles, cela reste une fonction ; c’est-à-dire que cela peut être circonscrit : je ne suis pas mère tout le temps. Alors, vous me direz, on n’est pas femme tout le temps, en tout cas pas dans une position féminine, ni sujet tout le temps, ni psychanalyste tout le temps non plus. C’est un travail, au quotidien. Une exigence. Cela étant dit, si le terme de position me semble davantage désigner une éthique personnelle envers soi-même (être femme, être sujet), et même une relation de soi à l’Autre barré (en soi-même), être mère correspond à mes yeux davantage au lien à l’autre : on est mère pour notre enfant, vis-à-vis de notre enfant, en responsabilité de cet enfant.

La maternité, à mes yeux c’est une construction, main dans la main avec une position féminine, et ce n’est pas un long fleuve tranquille. Une femme, qui tient à sa vie de femme, sera inévitablement confrontée à des frustrations, des renoncements, des responsabilités majeures qui ne manqueront pas de soulever quelques résistances. Mais de bonnes résistances ! Car s’il est difficile de céder, même occasionnellement, de sa vie de femme, c’est que vie de femme, il y a ! « Être mère, c’est de la perte pure », dis-je une autre fois en séance. C’est dire la bataille (symbolique) que cela peut être pour une femme de continuer à exister comme telle, à ne pas être aspirée par sa fonction de mère et ce qui en découle. Il faut dire qu’une femme qui devient mère, elle perd presque tout. Elle perd tout ce qui faisait sa vie d’alors, telle qu’elle était organisée. Il va lui falloir tout revoir, tout réorganiser, tout redécouvrir. Son rapport à elle-même, à son corps, à sa vie, à son mari devenu père, à ses propres parents, à son travail, à un enfant qui est bien plus un étranger qu’une part de soi. Elle devient responsable, co-responsable si je puis dire puisque le père est là, d’un nouvel être venu au monde qui aura besoin d’elle pour sa survie d’abord, pour grandir et s’éveiller au monde ensuite. La maternité confronte à la perte, imaginaire d’abord. Maud Mannoni nous en disait déjà quelque chose en 1964 :

 

« Quelle que soit la mère, l’arrivée d’un enfant ne correspond jamais vraiment exactement à ce que celle-ci attend. Après l’épreuve de la grossesse et de l’accouchement devait venir la compensation qui ferait d’elle une mère heureuse. Or, l’absence de cette compensation produit des effets qui valent d’être considérés, ne fut-ce que parce qu’ils nous introduisent à un autre ordre de questions encore plus importantes. Car il arrive que ce soient les fantasmes de la mère qui orientent l’enfant vers son destin. »[2]

 

Elle ajoute plus loin que la « véritable accession à la féminité doit inéluctablement passer par le renoncement à l’enfant fétiche, qui n’est rien d’autre que l’enfant imaginaire de l’Œdipe ». Perte et renoncement donc. Mannoni m’aide ainsi à étayer mon articulation entre position féminine et maternité. La première est la condition de la seconde, pour une maternité épanouissante pour la mère et pour l’enfant. Cela va avec, à mon sens, la capacité d’aimer l’autre pour ce qu’il est et donc d’accéder à un amour qui soit autre chose qu’un amour narcissique. Qui soit autre chose que chercher le soi dans l’autre. L’amour, je l’entends comme la rencontre d’un autre, dans sa différence radicale, avec tout ce que cela dérange en soi-même. Aimer son enfant ne peut s’envisager sans cette rencontre-là, sans la conviction que cet enfant il n’est pas à moi, que ce n’est pas le mien : il est un autre. Tant qu’une mère pense que son enfant est une partie d’elle, une continuité d’elle-même ou de son histoire, l’amour ne peut être au rendez-vous. La maternité exige une position féminine en amont, en préséance, en préexistence.

 

(…)

 

Quel enseignement de ce qu’être mère, ça s’apprend, et ça peut s’apprendre dans sa psychanalyse. Il n’y a pas de modes d’emploi, pas de recettes toutes faites. Devenir mère c’est aussi se confronter à cette solitude-là. Il faut construire par soi-même et régler ce qui s’impose.

 

En visionnant le très beau reportage d’Aude Pépin, À la vie[3], filmant le travail de sage-femme de Chantal Birman, présente à nos côtés lors de la dernière journée d’étude, je fus émue d’une phrase prononcée par Chantal. Elle rend visite à domicile à une jeune mère qui ne parvient plus à dormir la nuit, alors que son bébé dort très bien (le comble !), par peur qu’il lui arrive quelque chose et qu’endormie, elle ne puisse rien faire. La mère tient son bébé dans les bras et l’allaite, le bébé regarde sa mère donc, et puis Chantal dit ceci : « Avoir un regard comme ça qui attend tout de la vie, ça pourrait te faire croire que tout dépend de toi. Ben non, ça va dépendre de comment il va être dans la vie aussi. Bien sûr tu vas lui donner tout ce que tu peux, mais tu ne pourras pas lui donner tout tout tout tout, donc il va falloir qu’il trouve et la meilleure chose que tu puisses lui donner pour qu’il ait une belle vie, c’est lui apprendre à trouver ce qu’il a besoin (…) Tu comprends, c’est pas tout à fait la même chose que de lui donner tout ce dont il a besoin, être responsable de tout ce dont il a besoin. »[4] Quelle belle parole de castration ! Quelle invitation pour la femme, pour la mère, à supporter qu’elle ne pourra pas tout donner à son enfant.

 

Le bébé dès lors qu’il naît et même pendant la grossesse, ne fait pas qu’un avec sa mère, ça n’est pas vrai. Ces histoires de fusion, de symbiose mère/enfant, ne sont que pures constructions imaginaires. La mère lui prête son corps, elle lui donne la possibilité de vivre, de grandir puis de naître mais dès lors que les premiers battements de cœur sont là, le bébé à naître est un être à part entière. Cet être nouveau, la mère le porte en soi mais il n’est pas à soi, c’est une différence pas anecdotique du tout et ça tracera un chemin pour l’enfant bien distinct selon que la mère le considère comme un être lui appartenant ou non. La maternité, et ce depuis la grossesse, c’est aussi une confrontation très directe à la vie et à la mort. C’est se frotter tout simplement au Réel, à l’impossible. Être mère, c’est faire avec l’impossible. La vie d’un nouvel être nous est confiée et pour l’honorer, il va falloir donner beaucoup. La fonction maternelle, qu’est-ce d’autre que donner ? Et supporter aussi. Notamment les deuils à traverser qui sont multiples mais nécessaires ; il est nécessaire de les vivre et d’en réaliser la potentialité. Ces deuils, ils ont une fonction. À ce propos, je ne peux pas ne pas évoquer une sensation tout à fait inédite que j’ai vécu moi-même. Vivre au coté de mes enfants m’a fait connaître un sentiment particulier, que je n’avais jamais vécu jusqu’alors : le deuil d’un être qui n’est pas mort, seulement le deuil de ce qu’il a été. À quelques reprises, lors des premiers mois de mes enfants surtout, à un moment où le développement va très vite, j’ai eu le sentiment en rentrant le soir à la maison ou le lendemain de quand je les avais quittés, que cet enfant n’était plus là. Dans la profondeur du regard, dans la façon de bouger ses petites mains, dans sa voix ou ses cris, quelque chose avait changé, radicalement. Il n’était plus comme hier. Il ne sera jamais plus comme hier, c’est fini. Cet enfant-là, d’hier, est mort aujourd’hui. Si jeune, l’enfant grandit si vite qu’il impose son rythme à la mère. Et laissons-les nous imposer leur rythme, ne les brusquons pas avec nos volontés de contrôle, avec nos rythmes d’adulte. Ne les retenons pas.

 

(…)

 

Un jour, en séance, c’est son trop à elle que Léa a pu reconnaître, au moment même où c’est arrivé avec son fils. Elle câlinait son enfant et elle a senti ce désir, vorace, de l’enserrer davantage, de lui faire un bisou, puis un autre puis un autre. Les mères doivent savoir de quoi je parle. À un moment il faut dire stop, une mère doit se dire stop. Et Léa de dire « ce n’était plus son besoin là, c’était le mien, alors j’ai arrêté ». Bravo à elle, c’est un exemple de ce que produit une psychanalyse, une pulsion castrée.

 

Devenir mère m’a aussi réveillée à certaines évidences et m’a notamment rappelé à quel point nous devons tout apprendre dans la vie ; apprendre à manger, à dormir, à marcher, à parler. Apprendre à supporter aussi, tout : le froid, le chaud, la faim, le bruit, le silence, la solitude, la douleur, la détresse. C’est comme si notre enfant nous prenait par la main et nous disait, regarde, tout vient de là ! Tu viens de là ! Et finalement, ce dont je me suis concrètement aperçu, d’une toute autre manière que ce que j’avais découvert dans ma psychanalyse, c’est que le désir, ça se construit. C’est une vraie construction. Le désir, l’enfant ne connaît pas encore. Un enfant ne souhaite pas, il veut. Un enfant ne demande pas, il réclame. Un enfant ne désire pas, il exige ! C’est tout un travail pour l’aider à s’engager sur une voie désirante. Et tout ce qui est en amont du désir, l’exigence du nourrisson, puis du bébé, ses besoins, ses demandes, sa détresse, son impatience, tout ça va pousser la mère dans ses retranchements. La venue d’un enfant va repousser toutes les limites jusqu’alors établies : de patience, d’amour, la limite du possible même. Par conséquent, la maternité va convoquer l’agressivité de la mère et son ambivalence. Que la mère s’y prépare en effet. Il lui faudra faire avec, accueillir et évidemment contenir ses impulsions agressives convoquées par la proximité avec des tout-petits qui sont de vrais impatients totalitaires, aux prises avec des besoins impérieux, à la fois psychologiques et physiologiques, qu’ils ne peuvent identifier ni formuler. Le nourrisson demande à l’autre qu’il lui soit entièrement dédié. Il lui demande l’impossible.

 

(…)

 

Léa nous donne un bel aperçu de ce que c’est de construire sa maternité. Elle apprend à céder de ses illusions, de ses injonctions, à faire avec son histoire, ce qu’elle a raté, ce qu’elle a manqué, ce qu’elle n’a pas reçu, ce qui ne lui a pas été donné parce qu’en l’occurrence, elle n’a pas eu des parents très aptes à assurer la fonction d’Autre barré.

 

L’importance du A barré, justement : une articulation me saute aux yeux en écrivant ces quelques lignes entre les théorisations de Sigmund Freud, Françoise Dolto et celle de Fernando de Amorim reprenant la proposition lacanienne de l’Autre barré. Déjà, il faut dire que l’observation de jeunes enfants ne peut que donner raison à certaines découvertes freudiennes majeures telles que la pulsion, le rapport à l’objet, les stades libidinaux[5] et les castrations qui y sont associées. Je fais référence ici aux castrations symboligènes[6] avec lesquelles Dolto a sublimé la théorisation freudienne. Il est tout à fait fondamental de saisir que ces castrations (ombilicale, orale, anale, phallique puis œdipienne) sont indispensables à l’enfant pour que chaque étape de son développement libidinal n’en reste pas, pauvrement, à une frustration ou une privation mais qu’il accède à une castration que Dolto qualifia de symboligène car elle invite, cette castration, elle offre la possibilité à l’enfant d’« ouvrir l’assomption subjectivante et libératoire du désir »[7].

 

Dolto a davantage insisté sur la progressivité plutôt que sur la successivité de ces étapes cruciales[8] : c’est-à-dire que ce qui compte n’est pas tant la succession d’un stade à un autre mais que ce qui permet le franchissement d’un stade à l’autre. Celui-ci ne s’établit que grâce « au secours de la symbolisation parlée »[9], via l’énonciation d’un interdit structurant impliquant donc l’intervention d’un adulte, d’un Autre. Dolto s’en était arrêtée là : il faut que le parent donne la castration à son enfant. Oui mais comment ? Qui est apte à le faire ? Et quelle est la fonction spécifique de cet adulte-là ? Il s’agit d’un Autre oui, mais barré.

 

C’est grâce à cette fonction-là, le A barré, qui doit être opérante d’abord chez le parent, que l’enfant pourra observer, introjecter et construire un rapport au manque apaisé, grâce à ce grand Autre barré qui parle au bébé et qui le parle lui, ce bébé. C’est ainsi qu’il pourra apprendre à différer, à tempérer, à attendre une satisfaction escomptée et ne pas se contenter du circuit court de la pulsion. Bref, que la libido devienne désir. C’est ça la castration. Et c’est tout à fait fondamental pour la clinique parce que la formation des symptômes est liée à ces castrations, traversées ou non, la résolution des symptômes également, et la possibilité même du transfert. Nous retrouvons tout cela avec les adultes que nous recevons. Cette fonction du A barré ne concerne-t-elle pas d’ailleurs aussi le psychanalyste ? Impossible de ne pas faire le parallèle avec sa position et sa fonction. Est-ce à dire que le clinicien est en position de mère ou père ? Non, sauf à être refiltré par le transfert évidemment. Mais le transfert n’est-il pas la répétition, la recherche d’une autorité et du A barré ? Pas n’importe quelle autorité, une autorité castrée. Ceux qui viennent en cure sont ceux qui sont avertis, consciemment ou non, que cette fonction-là chez eux n’opère pas ou plus et qu’ils en appellent à un autre – un Autre – pour trouver la voie d’une castration, et donc, de leur désir.

Le psychanalyste accepte d’incarner cette fonction pour celui qui souffre et qui n’a pas eu la possibilité de construire un rapport à l’Autre barré qui soit suffisamment solide. La fonction du psychanalyste prend donc le relais lorsque cette rencontre aura été défaillante ou insuffisante.

 

La psychanalyse aussi donne – néanmoins pas gratuitement, c’est sûrement la différence d’avec la fonction maternelle d’ailleurs –, elle offre une possibilité : celle de se mettre au travail. Elle ne va pas offrir une solution miracle au patient, elle ne sauve personne. Elle offre les outils et c’est déjà plus facile de se mettre au travail quand il y a un cadre, des outils, une méthode clairement énoncée et, surtout, un clinicien qui tient la route. C’est le minimum requis pour qu’un être en souffrance sorte de sa cure en s’étant engagé dans la voie de son désir.

 

Pour conclure sur ce rapide parallèle, point de fonction maternelle sans fonction de A barré, et point de psychanalyste sans cette même fonction. Il y a clairement une théorisation du grand A barré à articuler avec l’ensemble du corpus psychanalytique. C’est un projet. Une construction. Tout est construction, je conclurai là-dessus.


 

Références bibliographiques :

 

Ouvrages

 

Freud, S. (1905). Les trois essais sur la sexualité infantile, Paris, PUF, 2010.

 

Dolto, F. Tout est langage, Paris, Gallimard, 1994.

 

Guillerault, G. Comprendre Dolto, Paris, Armand Colin, 2008.

 

Leboyer, F. (1974). Pour une naissance sans violence, Paris, Éditions du Seuil, 2008.

 

Mannoni, M. L’enfant arriéré et sa mère, Paris, Éditions du Seuil, 1964.

 

Articles de périodiques

 

Guillerault, G. « Dolto, Freud : du complexe de castration à la castration symboligène ». Le Coq-Héron, 2002/1, n° 168, pp. 37-46.

 

Autres médias 

 

PÉPIN, Aude (réalisatrice). À la vie, Tandem, 2021, 78 min.

 

 

 

 

[1] Leboyer, F. (1974). Pour une naissance sans violence, Paris, Seuil, 2008, p. 60.

[2] Mannoni, M. L’enfant arriéré et sa mère, Paris, Seuil, 1964, p. 18.

 

[3] PÉPIN, Aude (réalisatrice). À la vie, Tandem, 2021, 78 min.

[4] Ibid., 27ème min.

[5] Freud, S. (1905). Les trois essais sur la sexualité infantile, Paris, PUF, 2010.

[6] Dolto, F. Tout est langage, Paris, Gallimard, 1994.

[7] Guillerault, G. « Dolto, Freud : du complexe de castration à la castration symboligène ». Le Coq-Héron, 2002/1, n° 168, p. 44.

[8] Guillerault, G. Comprendre Dolto, Paris, Armand Colin, 2008, p. 130.

[9] Guillerault, G. « Dolto, Freud : du complexe de castration à la castration symboligène ». Op. cit., p. 43.

 

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